14 août 2006
le chant des pierres
Sur verbe chaud des schistes cévenols
Je marche dans la chaleur des chemins de torpeur
La rocaille conte les temps sous le lent de mes pas
C’est la fournaise des falaises qui chantonne la peine des hommes
Et je monte sueur après sueur vers l’espoir du vent des crêtes
Soumis à l’air d’un chant de pierres au polis cinq fois millénaire
©Texte Yann Le Rousic
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