18 août 2006
Gladiateur
Dans l’arène reine de la cité tout cite encore le temps passé
C’est la pierre grave scarifiée de mémoire et de sang
qui ressasse en sueurs solaires les vies lasses des sacrifiés
Ici meurent toujours les fureurs fantôme de nos cœurs gladiateurs
Et écrasés sous le cercle blanc des lents gradins des âges
saurons-nous encore en souvenir de quelle mort nous allions combattre ?
©Texte Yann Le Rousic
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